STF a écrit :désolé xav,j'ai completement oublié de t'appeller la prochaine fois qu'on roule dans ton secteur ou du coté de rouen je te tiens au jus sans faute
Pas de soucis STF, je suis juste un peu vert de voir des "copains" sur les photos et aucun qui n'ai pensé à me prévenir. La tablée du village gaulois fond comme neige au soleil.
boh tu sais JJ avec l'age il devient sénile pire que moi,oui,je sais c'est dur a croire
La puissance c'est la vitesse a laquelle tu rentres dans le mur,et le couple,la longueur que tu le pousse
Salut STF, je n'en veux pas à tel ou tel personne en particulier, franchement je m'en bas les couilles.
J'ai remarqué que les sorties sur les terrains normands se faisait en petit comité depuis un certain temps.
Comme on dit chez nous le morceau avalé n'a plus de goût
Fisher a écrit :
Comme on dit chez nous le morceau avalé n'a plus de goût
Ah bah t'cheu mé on preche que ché quand qu'ché trop lavé qu'cha a point d'goût
Cette expression trouve la substantifique moelle de sa signification dans la pratique du cunilingus, car le manger sain est l'apanage des gens simples.
Pour les chattemittes, replaçons également le contexte de cette citation à la suite des libations abondantes qui lui tinrent lieu de cadre social et c'est ainsi que se vérifie l'hypothèse que l'on parle cru quand on est cuit.
Enfin pour les ignards, les vrais, c'est à dire les citadins, on leur expliquera que c'est beaucoup plus sain car non lavé veut dire, de fait, sans paraben que l'on trouve dans tous les cosmétiques à part le savon noir, bio, mais irritant pour les muqueuses et nuisible à la faune pubienne que personne ne pense à protéger.
C'est ainsi que l'on conclura que le vrai écologiste doit bouffer des chattes non lavées pour retrouver le goût des choses vraies et le fumet de la campagne mais sans becter les morbacks puisqu'il est végétarien.
A titre personnel, roulant en 4x4 et coupant des arbres, j'assume sans culpabilité mon goût pour le Mont de Vénus sans humus ni acariens, frais et débroussaillé, délicatement parfumé à l'abricot.
un extrait (parmis tant d'autres )d'un autre forum que j'avais bien aimé
Castanea a écrit :
L'au't jour, j'reluquais mon steack, que j'enviseageais même de m'affuter les canines à la dremel, et il sentait tellement bon que je pensais m'en carrer l'jus sous les aisselles pour attirer la carnivore.
Mais à un moment j'me suis dit que la barbaque allait refroidir façon maccabé et fleurer l'pied d'clodo si j'poireautais à m'pallucher devant le spectacle et qu'il était temps que j'la becte parce que j'avais toujours la dalle.
Pi une fois remplie le réservoir précédent la turbine à chocolat, j'm'en vais fout' l'jambon dans l'torchon, m'loger dans mon pajot et v'la t'i pas que dans mon plumard, j'me trouve devant le plus joufflue qu'Lucifer m'a jamais trimballé d'vant la pompe à plaisir.
Nom d'une pipe au miel que j'me dit, me v'la verni, y'a l'tollier à saint pierre qui va m'convoquer fissa et saint marcel mon ange gardien y s'entend à m'dédommager d'mon trépas en m'mettant c't'oignon la d'vant la carotte.
Bah tu vois l'temps d'bénir l'enfer et l'paradis j'ai fais comme avec le steack, j'l'ai bouffé.
Morale de l'histoire, magne toi l'trognon d'me carrer un moulbif entre trois tubes et va rouler bordel, sinon t'auras toujours les crocs et un d'ces 4 tu vas t'en repeindrel'calcif à te r'tenir, sans compter que l'récit d'la branlette c'est bien mais nous faut qu'à un moment ça sente l'poil brulé. La bise