A l’unanimité générale, je continue ce poste.
Ce qui est important, ce n’est pas la maquette ou la reproduction exacte dans ce sujet mais ce que je vais en faire… un truc comme ça serait pas mal mais sans chauffeur.
Je ne suis même pas sur qu’il existe de personnages à la bonne échelle.
Pour commencer, j’ouvre un boite de la marque « Bburago » au 1/26éme.
Tiens ! une carrosserie tout métal, correcte dans l’ensemble … pour ce qui est du surdétaillage galerie, treuil, chargement, etc. Nul, donc, on verra plus tard, rangement dans la boite à bidouilles.
Allez, c’est parti.
Les voiture, surtout en TT à moins quelles ne sortent du concessionnaire, sont rarement très propres, les couleurs dans la nature ne sont jamais pures
Les siéges, les intérieurs en générale sont de couleurs constantes. Ce qui manque, c’est toujours et en encore ce foutu relief- qui est pourtant là, mais que notre perception visuelle ignore. Afin de faire ressortir les creux, voici une méthode.
Pour un tableau de bord noir, faire un jus de noir mat avec 7 à 8 fois le volume d’essence térébenthine, White spirit ou essence à briquet. Etaler la mixture en très fine couche, éponger sans frotter le surplus avec un coton tige. Laisser sécher puis frotter avec un pinceau brosse sec, toutes les surfaces sauf dans les creux. ( Désolé pas de photo ). C’est le seul cas ou la couleur ajoutée est la plus claire que le support. Plus noir que noir ? Pour les siéges en cuir beige, choisir une couleur un peu plus foncée Cette technique est valable dans tous les cas.
Le montage du modèle est sans grand intérêt, alors je vais passer aux phases les plus importantes.
Montage sans colle pour commencer. Deux trois petits détails en plus sur le tableau de bord, glaces latérales manquantes donc à fabriquer dans un boîtier de CD, sinon montage classique.
Impossible de croiser les ponts pour donner un peu de dynamique, ou alors là, il va falloir commencer à taper dans le lourd. Je laisse tomber, il faut trouver une autre solution comme désaxer les roues par rapport au pont en perçant les disques.
Ne pas oublier de prépeindre (salir) les parties visibles avec un mélange de peinture Humbrol de couleur terre très diluée au White Spirit proportion 1 pour 4 à 5 de diluant et une poudre pour donner de la granulosité, tel que plâtre. Ne pas oublier l’intérieur les jantes et joues d’ailes, réservoir et même les tapis de sol. (Il va bien y avoir un vicelard qui va regarder par les vitres latérales) Le vieux sèche cheveux de madame fera l’affaire pour activer la prise de cette peinture très diluée et longue à durcir. Normalement une deuxième couche s’impose. Cette technique de peinture va rester jusqu’à la fin du diorama pour imiter la boue.
Les petit plus.
Afin de ne pas être obligé de faire l’aménagement intérieur à l’arrière des siéges, j’ai peins les vitres par l’intérieur en noir mat.
Masquage au scotch du pare brise au niveau du balayage des essuies-glaces et là c’est au tour des gamins de trinquer. Il nous faut un compas pour tracer, puis découper au cutter sans rayer le pare brise.
Collage des LP et pose des décalques.
Ne pas coller les roues avant sur leurs pivots tant que le diorama ne sera pas commencé.
C'est par-ce-que la vitesse de la lumiere est supérieur à celle du son, que certain on l'air brillant avant d'avoir l'air con.
Avant d'être un grand chêne, n'oublie pas que lui aussi a été un gland ...
Jean et la Nannick.
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