Re: la blague du jeudi ...
Posté : sam. 26 juil. 2014 - 23:02
https://www.youtube.com/embed/73FxP1E5-uc
un condensé de qualité sur les affaires.... écrit avec goût et sur une musique que tout le monde a chanté.
et puis une autre histoire, préambule du regroupement des régions d'Alsace Lorraine Champagne Ardennes
Un ALSACIEN entre chez Cora à SARREBOURG et voyant une thermos, il demande à la vendeuse :
" Qu'est-ce que c'est çà ?"
La vendeuse dit :" Eh bien c'est une thermos ; tout ce que vous y mettez de froid, reste froid, et tout ce que vous mettez de chaud,
reste chaud ".
"Yo, holpa, chen prends une ", dit l'alsacien.
De retour à SAVERNE, il prend sa thermos pour se rendre à son travail.
Tous ses collègues, lui demandent : " Qu'est-ce que c'est çà ?"
Donc, il explique : " C'est une nouveauté que chai ramené de La lorraine c'est une thermos "
" Tout ce que fous mettez de chaud là - teutans, reste jaud ...
" Et tout ce que vous y mettez de froid, reste froid ".
Lorsqu'un de ses collègues demande : " et t'as mis quoi teutans ? "
L'alsacien lui répond "deux pols de soupe et un miko"
Allez encore une sur les alsaciens
Les ALSACIENNES du SUNDGAU !!!
Dans un petit village, à Obermorschwiller dans le Sundgau (Haut-Rhin), un très vieil homme était étendu, mourant, dans son lit.
Soudain il sentit l'odeur des Fasenachtschànkele (beignets de carnaval).
Il prit le peu de force qui lui restait pour se sortir du lit.
Se tenant contre le mur, il se dirigea hors de sa chambre.
Dans un plus grand effort encore, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains.
En respirant péniblement, il se tint dans le cadre de la porte, regardant vers la cuisine.
S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait déjà cru au ciel !
Là, sur la nappe de la cuisine, il y avait des centaines de ses beignets favoris.
Était-il déjà au Ciel ? Était-ce un avant goût du Paradis ?
Ou peut-être encore un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde heureux ?
Dans un ultime effort, il rampa vers la table.
Se soulevant péniblement sur ses mains tremblantes, il tenta de prendre un Schànkala.
A ce moment précis, sa femme lui assena un coup de spatule sur les doigts :
"Touche pas ! C'est pour l'enterrement !"
un condensé de qualité sur les affaires.... écrit avec goût et sur une musique que tout le monde a chanté.
et puis une autre histoire, préambule du regroupement des régions d'Alsace Lorraine Champagne Ardennes
Un ALSACIEN entre chez Cora à SARREBOURG et voyant une thermos, il demande à la vendeuse :
" Qu'est-ce que c'est çà ?"
La vendeuse dit :" Eh bien c'est une thermos ; tout ce que vous y mettez de froid, reste froid, et tout ce que vous mettez de chaud,
reste chaud ".
"Yo, holpa, chen prends une ", dit l'alsacien.
De retour à SAVERNE, il prend sa thermos pour se rendre à son travail.
Tous ses collègues, lui demandent : " Qu'est-ce que c'est çà ?"
Donc, il explique : " C'est une nouveauté que chai ramené de La lorraine c'est une thermos "
" Tout ce que fous mettez de chaud là - teutans, reste jaud ...
" Et tout ce que vous y mettez de froid, reste froid ".
Lorsqu'un de ses collègues demande : " et t'as mis quoi teutans ? "
L'alsacien lui répond "deux pols de soupe et un miko"
Allez encore une sur les alsaciens
Les ALSACIENNES du SUNDGAU !!!
Dans un petit village, à Obermorschwiller dans le Sundgau (Haut-Rhin), un très vieil homme était étendu, mourant, dans son lit.
Soudain il sentit l'odeur des Fasenachtschànkele (beignets de carnaval).
Il prit le peu de force qui lui restait pour se sortir du lit.
Se tenant contre le mur, il se dirigea hors de sa chambre.
Dans un plus grand effort encore, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains.
En respirant péniblement, il se tint dans le cadre de la porte, regardant vers la cuisine.
S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait déjà cru au ciel !
Là, sur la nappe de la cuisine, il y avait des centaines de ses beignets favoris.
Était-il déjà au Ciel ? Était-ce un avant goût du Paradis ?
Ou peut-être encore un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde heureux ?
Dans un ultime effort, il rampa vers la table.
Se soulevant péniblement sur ses mains tremblantes, il tenta de prendre un Schànkala.
A ce moment précis, sa femme lui assena un coup de spatule sur les doigts :
"Touche pas ! C'est pour l'enterrement !"