TENTE DANS LE SABLE PAR GRAND VENT
TENTE DANS LE SABLE PAR GRAND VENT
bonsoir,
les piquets de tente si tempete de sable.... la peste !
Il existe une solution peu coûteuse dont la méthode a fait ses preuves en haute montagne avec la neige, à savoir :
prendre 4 ou 6 SACS POUBELLE de 10, 15 ou 20 litres suivant l'importance et le volume de l'habitacle
en plastique suffisamment résistant et fermant au col par serrage après les avoir rempli de sable.
Les entourer avec les drisses de la tente en les enterrant partiellement dans le sable.
Avec le vent, le sable s'amassera sur les sacs lesquels seront davantage bloqués.
Cette méthode est très efficace et si doute vous avez, sachez que cela permet de
descendre en rappel au bout de la corde lorsque le sac poubelle 100 L
est enterré formant ainsi un champignon, enfoui à 80 ou 100 cm
pour un diamètre de 50/60 cm.
Un avantage, pas besoin de transporter le matériau et c'est
réutilisable plusieurs fois.
A +
Gilbert
les piquets de tente si tempete de sable.... la peste !
Il existe une solution peu coûteuse dont la méthode a fait ses preuves en haute montagne avec la neige, à savoir :
prendre 4 ou 6 SACS POUBELLE de 10, 15 ou 20 litres suivant l'importance et le volume de l'habitacle
en plastique suffisamment résistant et fermant au col par serrage après les avoir rempli de sable.
Les entourer avec les drisses de la tente en les enterrant partiellement dans le sable.
Avec le vent, le sable s'amassera sur les sacs lesquels seront davantage bloqués.
Cette méthode est très efficace et si doute vous avez, sachez que cela permet de
descendre en rappel au bout de la corde lorsque le sac poubelle 100 L
est enterré formant ainsi un champignon, enfoui à 80 ou 100 cm
pour un diamètre de 50/60 cm.
Un avantage, pas besoin de transporter le matériau et c'est
réutilisable plusieurs fois.
A +
Gilbert
- Maxi14
- Messages : 16826
- Enregistré le : dim. 01 janv. 2006 - 20:02
- Localisation : au fin fond du pays d'Auge entre le Pont l'Evêque et le Livarot
Re: TENTE DANS LE SABLE PAR GRAND VENT
Impec le truc
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Par contre la descente en rappel dans le desert ..... Whouuuuu !!! Sacrée dune !!!PACHY54 a écrit : ... sachez que cela permet de descendre en rappel au bout de la corde lorsque le sac poubelle 100 L est enterré formant ainsi un champignon, enfoui à 80 ou 100 cm pour un diamètre de 50/60 cm.
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Re: TENTE DANS LE SABLE PAR GRAND VENT
nickel l'astuceMaxi14 a écrit : Par contre la descente en rappel dans le desert ..... Whouuuuu !!! Sacrée dune !!!
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Par contre MEKILEKON ce Maxi
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Re: RAPPEL
ça se mangePACHY54 a écrit :re,
et je ne te dis pas une dune avec une face verticale style couloir Gervasutti face au Mont Blanc stp
le pied !
à +
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désolé
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ça se mange
la crème dans tes vivres de course pourquoi pas ? c'est excellent en raid sur 2 ou 3 semaines mais dans le sable, le meilleur reste le pain cuit à même le sable, un vrai délice.
à +
à +
cuisine et eau
re,
Creuser une forme de cuvette de 10 cm dans le sable, faire brûler du bois pour avoir un lit de braise d'environ 4 cm et bien rouge, en enlever la moitié en l'écartant sur la couronne extérieure.
Etaler la pâte à pain à l'intérieur du rond, rabattre les braises sur le pourtour sur la face extérieure puis recouvrir le tout de sable.
laisser chauffer en fonction de la largeur et de l'épaisseur un certain temps comme dirait feu Fernand REYNAUD. (sans jeu de mots)
retirer le pain bien croustillant avec un fumet je vous dis ! que j'en mangerai à pleines dents de suite, après l'avoir bien secoué et nettoyé du sable ou des restes de braises sinon pas besoin d'une brosse à dents.
les nomades récupérent ensuite les grosses braises, les mettent dans un faitout ou similaire et les étouffent avec du sable pour le prochain feu de pain car le bois se fait de plus en plus rare qu'il leur faut faire des km pour en ramasser assez afin de faire cuire leurs aliments et l'eau tout aussi précieuse.
Un souvenir du Maroc, le parcours tirait à sa fin et les bivouacs n'étaient plus au programme.
La cuve de 100 l était à moins de la moitié, je l'ai quasiment vidé lors du passage d'un col où les fontaines avec bouton n'étaient pas légion, les 3 femmes sont venues avec toutes sortes de récipients et j'ai "réquisitionné" tous les flacons (?) vides des équipages.
Je ne vous dis pas la joie sur ces visages avec ces yeux pétillants couleur jais et mille merci en vous serrant les mains avec le coeur !
Sinon, elles devaient faire 10 km à vide à l'aller et autant au retour chargées et en montant.
Nous ne connaissons pas notre bonheur d'avoir l'eau, le gaz, l'électricité au bout de nos doigts en quelques secondes.
J'ai un peu dévié du culinaire mais c'est bon de faire partager ses expériences, ses joies et mais parfois ses déceptions mais c'est la vie.
Les novices, que nous avons tous été un jour, rêvions des récits des Frison - Roche, de Foucault, Monod, etc... du Hoggar, Tam, Aîr, etc... encore 3 ans de patience !
J'arrête là sinon j'y suis encore...
à +
Gilbert
Creuser une forme de cuvette de 10 cm dans le sable, faire brûler du bois pour avoir un lit de braise d'environ 4 cm et bien rouge, en enlever la moitié en l'écartant sur la couronne extérieure.
Etaler la pâte à pain à l'intérieur du rond, rabattre les braises sur le pourtour sur la face extérieure puis recouvrir le tout de sable.
laisser chauffer en fonction de la largeur et de l'épaisseur un certain temps comme dirait feu Fernand REYNAUD. (sans jeu de mots)
retirer le pain bien croustillant avec un fumet je vous dis ! que j'en mangerai à pleines dents de suite, après l'avoir bien secoué et nettoyé du sable ou des restes de braises sinon pas besoin d'une brosse à dents.
les nomades récupérent ensuite les grosses braises, les mettent dans un faitout ou similaire et les étouffent avec du sable pour le prochain feu de pain car le bois se fait de plus en plus rare qu'il leur faut faire des km pour en ramasser assez afin de faire cuire leurs aliments et l'eau tout aussi précieuse.
Un souvenir du Maroc, le parcours tirait à sa fin et les bivouacs n'étaient plus au programme.
La cuve de 100 l était à moins de la moitié, je l'ai quasiment vidé lors du passage d'un col où les fontaines avec bouton n'étaient pas légion, les 3 femmes sont venues avec toutes sortes de récipients et j'ai "réquisitionné" tous les flacons (?) vides des équipages.
Je ne vous dis pas la joie sur ces visages avec ces yeux pétillants couleur jais et mille merci en vous serrant les mains avec le coeur !
Sinon, elles devaient faire 10 km à vide à l'aller et autant au retour chargées et en montant.
Nous ne connaissons pas notre bonheur d'avoir l'eau, le gaz, l'électricité au bout de nos doigts en quelques secondes.
J'ai un peu dévié du culinaire mais c'est bon de faire partager ses expériences, ses joies et mais parfois ses déceptions mais c'est la vie.
Les novices, que nous avons tous été un jour, rêvions des récits des Frison - Roche, de Foucault, Monod, etc... du Hoggar, Tam, Aîr, etc... encore 3 ans de patience !
J'arrête là sinon j'y suis encore...
à +
Gilbert
Ben viens a magny mais la bas ce sera les pieds dans la merde et l'esprit te dira mais qu'est ce que je suis venu foutre làMaxi14 a écrit :.... Pourquoi tu t'arrêtes ...![]()
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J'etait bien, au coin du feu, à t'écouter avec des lueurs dans les yeux, la bouche bée, et l'esprit en voyage .....
MERCI !
![Mr. Green :mrgreen:](./images/smilies/icon_mrgreen.gif)
![Mr. Green :mrgreen:](./images/smilies/icon_mrgreen.gif)
La puissance c'est la vitesse a laquelle tu rentres dans le mur,et le couple,la longueur que tu le pousse